Fontanelles en vieux soudés, boite crânienne où ricochent en corps les idées.
Etat des lieux : pas trop brillant, mais aux dernières nouvelles: c’est de l’encore vivant.
Le temps qui passe, ça dévore un peu et beaucoup aussi ça casse. IIs en deviennent de plus en plus précieux ces de nous qui disent à la vie, l’étonnant de nos têtus de vouloir avoir un bel encore.
Vibrantes oreilles, regards tout gyrophares, toucher, effleurer parfois, et les très grands jours avoir en Byzance des à caresser. Même chiches elles sont précieuses les meurtrières de nos sens, car très essentielles ouvertures vers notre extérieur . Cela évite qu’en soi, tout soit, plongé le noir et dans le si poisseux de nos malheurs revisités.
Années qui passent, ça tombe brutalement sur le dos, comme un trempé et très lourd paletot, alors que les vêtements que l’on a déjà essayés pour avoir de l’allant, nous ont été d’aucune utilité pour traverser nos hivers. Cela ne va même pas nous tenir plus chaud, rien que du poids en plus à devoir jusqu’au bout se trimbaler en galère.
Il y a bien eu l’autre, qui s’est fait par choix, comme un insecte planté sur sa croix de bois, anthologie d’entomologiste, et autres escrocs d’apôtres du même acabit, mais moi à ça je n’y crois plus. Ce n’est au mieux, que de la magie pour de trop naïfs et débiles enfants, chaperon rouge et mère grand.
De tout ça, et de tout ce que l’on sait et de tout ce que l’on a connu, il n’y a plus qu’à accepter le sans aucune solution de l’existence.
De tout ça, il ne reste plus qu’une seule et vraiment unique rose, celle de l’amour et d'alors s'en faire une magnifique religion. Puis grâce à ça, oublier tout ce qu’il vient d’être écrit, dans un dernier et sublime tourbillon de très belles émotions.