de choses et d'autres sur le chemin des mots

La beauté absolue

 La beauté absolue

 

 

Gaelynn Lea ,  tu es la beauté absolue.

 La première fois que l’on t’entend, que l’on te voit, nous sommes un peu  gênés et l’on se doit de t’écouter et de te regarder plusieurs fois.

 Car il nous faut le temps d’accepter et de  reconnaître  ce que tu nous dis, car tu nous dis aussi et  en évident, même si c’est malgré Toi, que c’est nous qui sommes les plus grands  des handicapés.

Mélopées de ces  cordes que tu caresses  avec ton corps accablé par  tant de désordres, de ton cœur tu nous donnes une immense harmonie.

On en a des envies de te dire, et par milliers, des : mon amour et des ma chérie, auxquels on voudrait ajouter des toujours pour te les donner.

Avec ce violon, que tu tiens, tout contre Toi comme maman fait avec son  bébé, tu nous racontes tant de douceurs et de si beaux, tu nous racontes : qu’elle est tout de même belle la vie...

Alors que pauvres de  nous, bien  trop petits, avec nos âmes si rétrécies,  on y croyait hélas plus trop, tant nous sommes  devenus que des  idiots ....

De ta voix enfantine ensuite tu nous câlines, puis des cordes de ton violon tu nous enveloppes à nouveau, nous disant en évident  des : ne me  prenez pas froid, même quand la vie n’est pas, comme il se doit.  

Gaelynn Lea,  tu es et tu resteras  toujours l’absolue beauté...

Pizzicato de tes doigts sur les cordes tendues, comme gouttes d’eau tombant d’un toit, tu en  transformes  si bien nos pluies en joies.

Même quand tu ne seras plus là et si par hasard un peu plus longtemps, nous on te survit, on se souviendra  toujours de toi.

 De tous ces effets que sur nous tu as faits, et   nous en auront alors, le plus magnifique et le plus  éternel des contes de fée :

              Merci à  Toi pour  toute cette beauté,  car elle est  absolue....